A une quarantaine de kilomètres à l’ouest du Mont Ophir [week-end d’intégration sportif du mois d’octobre], sur le littoral de la péninsule malaise, la ville de Malacca [Melaka].
Alors que les Philippins connaissent un début d’occupation espagnole au XVI ème après une tentative d’islamisation du pays vers 1400, ce sont les Portugais qui, à cette époque, envahissent la Malaisie et s’emparent de Malacca – ville portuaire située sur la route des épices, prospère grâce à ses activités commerciales avec la Chine et les Indes. Au cours des siècles s’y succèderont les Hollandais, les Anglais puis les Japonais, tous très intéressés par le commerce maritime dans le détroit de Malacca.
En 1957, la Malaisie devient indépendante.
Plusieurs communautés cohabitent, les Malais de souche et les Chinois, les Paranakan [Baba-Nyonya, 峇峇 娘惹, issus de l’union des premiers immigrants chinois avec des femmes malaises au XVIème], les Indiens et quelques autres minorités.
La ville …
Des temples bouddhistes, hindouistes, des mosquées, des églises, des ruelles paisibles, un quartier chinois coloré – Jalan Hang Jebat, Jonker street, la rue des antiquaires
Une échoppe
Des lampions, fanions, friandises, sapins, guirlandes et habits de père Noël …
Chanteur de rue, karaoke et publicité
Une porte en bois peint d’inspiration chinoise
L’église Saint François Xavier
Les plages …
Bateaux, pêcheurs, baignades et moments de détente